J’arrive !
Ne soyez pas impatient(s) : je reviens… J’avais bien essayé de me transformer en vieilles pierres, mais ça n’a pas marché… Ici, c’est à la cathédrale de Bourges, en 1992, avec Claire…
Et là c’est près du lac Palluel, au-dessus de Dormillouse, la semaine dernière, là où il y a une extraordinaire exposition de cairns…
Moralité : on a beau porter un nom de caillou, la question de la transsubstantiation du Chaps en échantillon géologique reste sans solution. Dommage : j’aurais bien aimé que la géologie puisse un jour inclure dans ses coupes stratigraphiques un étage « chapoutien » !
Déjà dans ton bouquin tu veux être reconnu comme espèce d’homo alpinisticus disparue, pourquoi rester dans les mémoires est une si grande préoccupation ?
Est-ce une déformation professionnelle ?
Fine et pertinente remarque ! Peut-être que c’est ma façon d’aborder l’insoluble question de l’éternité, et comme je suis horriblement mécréant, je m’attache à des valeurs sûres. J’ai une grosse ammonite du Trias (fin de l’ère primaire, quand même), et je dois dire que sa vision me réconforte…. Au fait, toujours pas à La Bérarde ?
Si de retour même ! J’y étais du 20 au 26, j’attendais de sortir deux trois photos pour te répondre… Un régal ! Pour mon apprentissage de la montagne rien de mieux que : Pic Coolidge, Pic Geny (en trav. arrête EST, coucou le Rouget), Aiguilles du Soreiller par les arrêtes, voie des Nains + Dibona en grosse aussi pour finir…